Lettres de l'Abbé Joseph Trèves à Félicien Gamba

1 30 Abbé Joseph Trèves ce sujet - tout nouveau et inédit - aux Archives d'Etat de Turin. Je me suis permis de lui donner ton adresse. Il me faut ensuite : 2°. penser à la finance. Cent mille francs ne suffisent vraiment pas ! Et de mien je n'ai pu ver­ ser que la misère des mille francs d'Ami Fondateur Ordi­ naire. Tu verras, toi, quand et de quelle manière tu pour­ ras venir au secours de l'entreprise, à ce titre-là. En atten­ dant vois comment tu pourrais t'en faire l'Ami Propagandis­ te, à Turin, en temps et lieu ! Car, pour le moment mon cher, ceci est encore comme un secret entre amis, et cela dans les Catacombes pour 2 à 3 ans jusqu'au lancement du 1 er volume, en 1 930 , s'il plait à Dieu. Certes j e reviendrai combien de fois vers toi, à ce sujet. Mes amitiés cordiales. Ton affectionné Trèves. LV Excenex, ce 1 2 août 1 927 . Cher Félicien, Vendredi passé, il y a eu Séance Académique. J'y ai lu ta Lettre, cimelio hors de prix ! d'Iblet de Challant et natu­ rellement après avoir déclaré qu'il n'y avait là aucun mérite de ma part, je me suis fait un devoir, un plaisir et un hon­ neur de te présenter de mon mieux à l'Assemblée, modeste et restreinte mais marquante. Je l'ai fait en ami, en frère. Et cette présentation cordiale et spontanée m'a semblé ac­ cueuillie avec bienveillance. Dieu en soit béni ! Car, cher Félicien, ne pouvant guère t'aider autrement j'aimerais que ta nomination à Membre de l'Académie {dans la 1 re Séance future en Septembre, car en celle-ci il y a eu la simple présentation), non seulement soit la reconnaissance

RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=