Lettres de l'Abbé Joseph Trèves à Félicien Gamba

Lettres à M. Félicien Gamba 1 5 1 taine de 1 032, e t de l a Dédicace de l'ouvrage entier à son Altesse Royale le Duc d'Aoste, m'a intéressé et réjoui ! A la première occasion, passée cette triste première ondée de la désolante faillite Réan, je la porterai au sein du Comité Promoteur afin que nous travaillions à l'examiner d'aussi près que poss�ble. Et, espérons ! A Turin, j 'ai été bien heureux de revoir les amis. Mais, hélas ! Mr. Christillin était absent. Et c'était pourtant là un des buts principaux de mon voyage. Patience ! A une autre fois ! Quant à Mr. le Chev. Alexandre d'Entrèves je l'ai quit­ té avec la demi-persuasion que cet été il fera tant et si bien que son jeune neveu et étudiant et filleul Mr. Alexandre, actuellement à l'Université d'Oxford, se chargera du vo­ lume de l' H.re de la Noblesse qui, du reste, lui revient de droit. Et si, certes, il s'en charge ( noblesse oblige) il se le payera tout comme il faut le croire Mr. le Duc de Beauf­ fremont le sien. Et dans ce cas, voilà deux des 1 2 volumes, qui ne pèseront point sur le bilan commun. Espérons toujours. Au sujet, du Comité à étudier et à constituer plus tard pour la propagande au sein de Turin cultivé et sympathisant pro H.re V.ne aie bien la bonté, cher Félicien, d'examiner la chose de près, et d'en causer avec M.M. Chanoux et Cas­ sano et peut-être aussi le Père Jans. Vous nous rendriez par là à nous du Comité d'Aoste, un très précieux service en nous préparant un projet dans ce sens. L'union fait la force. Cher Félicien, je te renouvelle l'expression de ma vi­ ve reconnaissance et te serre cordialement la main. Bien à toi. J. Trèves, c.

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