Lettres de l'Abbé Joseph Trèves à Félicien Gamba
Lettres à M. Félicien Gamba 1 87 diverses branches lointaines et dont à leur tour ils recevront la sève pure, affectueuse et vigoureuse permanente. Je conçois aussi ces « Familles V.nes » comme passable ment démocratiques où les gens instruits frayent volontiers et fraternellement avec les humbles, les faibles et les petits qui ont toujours le plus besoin de conseils, appuis, protec tion et amour fraternel. En vérité, je suis, nous sommes, pour tous, mais sur tout pour le pauvre, l'opprimé, l'abandonné. Forcé de terminer ici, bien cher F. je te salue affec tueusement, attendant de tes chères nouvelles. Ton aff.né J. Trèves, c. LXXXV Excenex, ce 1 4 Juin 1 93 1 . Très cher Félicien, Je suis persuadé que si tu l 'as reçue tu auras la bonté de répondre à la lettre, toujours longue, hélas ! comme de coutume, que je t'ai écrite dernièrement. Je suis vivement porté à te récrire, en ce j our, avant même d'avoir reçu ta réponse, comme toujours impatiem ment attendue. Pourquoi ? Je viens de repasser un coffre plein de di vers papiers que je n'avais plus presque eu le temps de tou cher depuis mon arrivée ici à Excenex. J'y ai trouvé la copie que j 'ai faite des vieux papiers des Archives de la Cure de St-Germain qui concernent « Y maresa » ; le plus ancien date de 1 252 jusqu'à vers l'an 1477 . Souvent ce sont des résumés de Reconnaissances ou Inféodations ou même presque des Inventaires.
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