Lettres de l'Abbé Joseph Trèves à Félicien Gamba
2 1 8 Abbé Joseph Trèves que je viens te faire en ce jour, la première fois depuis nos relations et amitié bientôt ventenne et toujours fidèle, grâce à Dieu. Et l'amitié vraie et cordia!le est bien l'une des choses les plus douces et les plus fécondes de la vie. J'ai hâte avant de finir cette lettre par trop hâtive, de te dire ma j oie et ma reconnaissance pour tes efforts confiants et persévérants en faveur de notre si chère « Famille Valdô taine » de Turin. Je serais très heureux de voir M. l'abbé Jaccod épouser de coeur l'idée de cette initiative qui, au fond, s'impose et de vous voir combiner et fusionner frater nellement vos efforts. Vous aboutirez certainement, Dieu ai dant, et les valdôtains de Turin s'y prêtant. Ah ! si vous pouviez en jeter les premières bases en cet te année radieuse de la « Fidélité Valdôtaine » de 1 932 ! Par rapport à l'excellent M. Cassano, oui, s. t . p . fais tout au monde pour qu'il rédige et termine son travail sur le modeste mais loya1l Abbé d'Introd et qu'il le présente à notre chère Académie de St-Anselme comme Hommage. C'est vraiment là de sa part du deviné. Je me réjouis fort avec toi, mon cher Félicien, et je te félicite combien vivement d'avoir déjà essayé, et avec succès, d'associer à ton immense travail et labeur, dès ses tendres 1 0 ans, ton bien-aimé fils Ernest. C'est là une chose que j 'ai toujours espérée, mon cher. Tous mes saluts à toi et à toute la maisonnée. Bien à toi. J. Trèves, c.
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