Lettres de l'Abbé Joseph Trèves à Félicien Gamba
Lettres à M. Félicien Gamba 229 sible pour aller te voir, avec le bon onde Abraham, avant son grand départ. Mais lui, probablement, hélas ! ne me re connaîtra même plus. Fais-toi bien courage, mon cher avec toute ta bien chère maisonnée ! . . . J'en viens maintenant à l a collaboration au Bulletin de l'Académie pro « Commémoraison du 9ème centenaire de la Fidélité Valdôtaine » . Grâce à Dieu les adhésions touchent déjà l a 20.ne . Notre cher et illustre ami M. Cassano est du nombre. Sujet « De la succession du Comte François de Challant à Pierre d'Introd » un peu comme cela. Tu le vois, ton travail amicalement patient auprès de lui a abouti. Dieu soit béni ! Pour ma part j ' en suis très heureux. Maintenant je ne saurais dire si M. le Prof. Fournier est du nombre. Mais j 'en suis absolument quand même persuadé; aurais-tu occa sion de le voir avant qu'il monte à Ayas, pour son Bizou estival ? Notre ami, M. l'abbé Durand, y aborde un sujet de tou te actualité « La langue de la Maison de Savoie et des Val dôtains depuis le xr· siècle jusqu'à nos jours ». Toi, mon cher Félicien, aurais-tu bien la bonté de me dire ton sujet à toi ? M. le Vice-Président, chan. Boson, compte sur toi. Notre « Chansonnier » traîne un peu. Remercie et en courage M. Cassano, notre bras droit auprès de l'Imprimeur. Pressé, j e te salue bien affectueusement. J. Trèves, c. P. S. Je te reparlerai une autre fois de l'ami Binel plein de bonne volonté.
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