Lettres de l'Abbé Joseph Trèves à Félicien Gamba

244 Abbé Joseph Trèves Ah ! la santé ! la santé ! Article premier, je t'en prie ! Une réponse, s. t. p. immédiate, longue, détaillée sur tes tra­ vaux et trouvailles. Cordialement à toi. J. Trèves, c. CXIV Rome, ce 5 octob re 1 933 . Bien cher ancien e t fidèle Ami, Me voici sain et sauf à la Ville Eternelle. Je te suis vi­ vement reconnaissant de ton accueil toujours si cordial et je fais toujours toto corde mes voeux les plus sincères et les meilleurs possible pour l'accomplissement et la réalisation in­ telligente, patiente, courageuse et persévérante de ta Grande Oeuvre : Montjovet et son Mandement, à laquelle tu te li­ vres déjà depuis de longues années, avec une foi et un amour, grâce à Dieu, dignes de tous les éloges. Certes, mes voeux les meilleurs aussi pour la carrière future de ton bien-aimé fils Ernest, qui en est à ses pre­ miers pas. Daigne le Seigneur le bénir tout particulièrement sa vie entière afin qu'il se consacre lui aussi coeur et âme à la Cau­ se qui fait la joie, la fierté et l'amour de notre vie. Moi j'espère qu'un j our Ernest sera ton bras droit ! P.S. Cher Félicien, laisse-moi dédier à Emarèse mon « Chansonnier ». Cordialement à toi. J. Trèves, c.

RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=