Lettres de l'Abbé Joseph Trèves à Félicien Gamba

282 Abbé Joseph Trèves Enfin, moi archiprofane je me tais sur cette vexata questio. Videant consules ! Ah ! oui, dès que tu montes pour tes vacances en Val­ lée d'Aoste, comme de juste ! eh bien ! monte à Aoste sa­ luer les Amis, de là tu fais une pointe à Excenex auprès de ton Compatriote Emarésot, qui t'attend à bras et à coeur ouverts ! Mais pour y passer un jour entier s'i:l te plaît, ou au moins 5 à 8 heures. Il me semble que nous devons avoir bien des choses à nous dire. En m'avertissant, oui, à l'avance de ton arrivée. Je t'attends, tu sais ! Pour moi, chaque lettre que je t'adresse pour l'ordinai­ re est une vraie causerie, à coeur ouvert avec un ami, un frère, disons le mot. Aussi pardonne-moi bien, cher Féli­ cien, mes longueurs, mes redites, mon griffonnage ! A propos, la semaine prochaine, de lundi soir à ven­ dredi soir, je suis à la Cure de St-Germain pour recherches aux Archives Paroissiales pour le Docteur von Fels, sur ses ancêtres les Clappey de Sommarésa. Cordialement à toi. J. Trèves, c. Salue bien pour moi Joséphine et Ernest. P. S. - Mon cher F. j 'ose espérer de ta part une prompte et longue causerie par lettre ? Remerciements an­ ticipés !

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