Lettres de l'Abbé Joseph Trèves à Félicien Gamba

Lettres à M. Félicien Gamba 47 ne volonté, et tu sens le besoin d'être aidé dans tes recher­ ches et travaux. Voyons, F., n'est-ce pas là la pure vérité, que tu feras de ton mieux pour ne la démentir jamais ? Je crois donc que tu ne dois pas avoir de trop gros reproches à me faire là-dessus . C'est un doveroso témoignage d'amitié que je t'ai don­ né voilà tout ! Félicien : 1°) écris-moi, soit réponds-moi tout de suite. 2°) dis-moi, si tu ne viendras pas passer, lors de ta permis­ sion, 1 ou 2 jours avec moi aussi. Car à Gaspard il me sem­ ble que nous n'avons pas tant commode. Sauf que nous nous donnions rendez-vous à la Cure d'Emarèse pour que tu puis­ ses donner encore un coup d'oeil à nos Archives Commu­ nales. C'est peut-être encore mieux. Mon cher, reçois tous mes saluts affectueux. Bien à toi. J. Trèves, r. XXI Antey, ce 30 novembre 1 9 1 7 . Cher Félicien, Je reçois ta carte et ton adresse de Campogalliano. Tu as quitté Avellino ? As-tu reçu ma dernière lettre ? Si j 'a­ vais su que tu venais à Montjovet, j'aurais fait mon possi­ ble pour m'y rendre. Une autre fois, avertis-moi toujours ! Et au plus vite donne-moi de tes plus amples nouvelles. As-tu reçu le « Mandement de Graines » ? Cet hiver je compte me remettre un peu sérieusement autour de mon

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