Lettres de l'Abbé Joseph Trèves à Félicien Gamba

60 Abbé Joseph Trèves faire de notre mieux en les abordant ensemble, ou bien en nous partageant les besognes : toi les Corn. mois les Parois . . Nous verrons ! Verrès - Je ne demanderais pas mieux moi que de t'avoir pour compagnon dans la vision des Archives du Cou­ vent; à vrai dire, je ne les crois pas, hélas ! si riches que ça ! Seulement, il nous faut doucement prendre les choses comme elles viennent. A tel point, que, répondant par let­ tre en automne au désir du Prévôt, celui-ci, à tout ce j our, ne m'a pas encore fait de réponse. Ainsi je ne sais pas en­ core où j 'en suis. Aurait-il changé d'idée ? Dans les familles de Verrès serait-il possible de faire quelque fouille ? J'ai l'idée que les plus anciennes pourraient encore intéresser nos recherches. Qui sait ? Coazze. Merci des nouvelles que tu me donnes de tes démarches touchant les Papiers des Fayditte. Malgré les renseignements peu encourageants, il me semblerait toujours bon, de pousser la chose à fond ! Tu as l'opération entre les mains. Je suis persuadé que tu poursui­ vras à bonne fin de ton mieux. Fouilles et recherches historiques. Je me réjouis de pouvoir à paix conclue nous entendre de vive voix et préciser le mieux possible les modalités de notre collaboration mutuelle. En principe, il me semblerait que pour les documents tant soit peu importants, nous nous les signalions l'un à l'au­ tre, afin que celui de nous deux qui le désire puisse les voir lui-même et les recopier intégralement au besoin. Puis pour de simples détails, importants toujours pour nous, alors de se mettre à les relever, soit à les noter afin d'épargner à l'autre de faire toute la lecture d'un long document ou ma­ nuscrit simplement pour en relever un nom de Notaire ou de localité ou une filiation, ou une date.

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