Lettres de l'Abbé Joseph Trèves à Félicien Gamba

64 Abbé Joseph Trèves entre les mains pour l'éplucher de mon mieux surtout en tout ce qui concerne Emarèse. Comment faire pour cela ? A toi la copie du Marquis Berzetti combien t'a-t-elle coûté ? Et ta copie consentirais­ tu à me la prêter et envoyer d'Avellino, ou tu l'as à Mont­ jovet ? De là-bas, je craindrais qu'elle s'égare en route, même recommandée. Ce que je regretterais moi-même immensé­ ment. Cher Félicien, je laisse à toi de décider la chose. Mais je te laisse imaginer - vu mon amour pour l'Histoire de mon Petit Pays - combien j e suis friand de posséder entre mes mains ce Document si précieux pour le lire le plus at­ tentivement possible. Mon cher, fais-toi bien courage en toutes choses et toujours ! Je finis, mon cher, en te saluant très affectueusement et en t'assurant que tu as chaque j our un souvenir spécial dans la S .te Messe. Bien à toi Joseph Trèves, r. XXIV Promiod, 30 janvier 1 9 1 8 . Cher Félicien, J'ai été assez heureux pour pouvoir t'envoyer les « An­ ciens Hôpitaux de la Vallée d'Aoste ». C'est vrai il n'y a que la 4'"" Partie. Mais c'est celle qui te regarde spécia­ lement. J'y ai donné un coup d'oeil très sommaire. Or, ne faut­ il pas que j 'y trouve le Chapitre intitulé : « Les Hôpitaux

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