Lettres de l'Abbé Joseph Trèves à Félicien Gamba

66 Abbé Joseph Trèves 2°) A quelle époque est-elle tombée pour être rattachée à celle de St-Germain ? Je n'ai jamais pu me rendre compte de ces choses ca­ pitales. Je te salue cordialement. Bien à toi. J. Trèves, r. XXV Promiod, 28-2- 1 9 1 8 . Cher Félicien, Je m'empresse de répondre à ta chère lettre du 22 cou­ rant reçue tantôt seulement. 1°) Il est possible que Mr. le Curé de Coazze n'ouvre pas aux étrangers ses Archives paroissiales, ou par manque de largeur de vues ou parce que sa propre expérience lui aura peut-être démontré que ce n'est pas toujours là une confiance prudente. Et dans ce cas, que veux-tu ? « Chat échaudé, craint l'eau chaude ! » . Quoi qu'il en soit, sois persuadé qu'à l a première oc­ casion j ' appuyerai ton idée auprès de Mr. le Chan. Frutaz. Et si l'intercession de Frutaz ne suffit pas, que ferons­ nous ? Après la guerre, préalable humble prière, nous de­ scendons à Coazze tous les deux, et accompagnés du secours de Mr. Franco, nous visiterons ces Archives paroissiales . Certes, sous l a garantie de la présence d'un prêtre, i l nous les ouvrira bien ! Te s emble-t-il que ça puisse aller ? 2°) J'ai été mercredi passé auprès de Mr. Frutaz. Il a­ vait préparé sur sa table le vol. des « Anciens Hôpitaux » et il me l'a remis pour te l'expédier.

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