Lettres de l'Abbé Joseph Trèves à Félicien Gamba
82 Abbé Joseph Trèves douloureuses . Cela ne l'empêchera pas de pousser en avant la provvida et féconde Initiative. Assistons-le, encourageons-le, et soyons à ses côtés, en ces heures d'épreuves et de combat, des amis dévoués, fi dèles, tetragoni. Aussi, F., fais-moi bien ce plaisir à moi-même de lui écrire fraternellement pour le soutenir dans la lutte et pour lui offrir le secours précieux de toute ta bonne volonté, en vue du succès de notre Entreprise. 4°) Pardonne-moi si j'ai tardé jusqu'à ce j our à te res tituer et à t'envoyer à Avellino le Traité de Paléographie avec Atlas, que tu m'as si fraternellement prêtés. C'est un retard involontaire de ma part. J'aurais bien plaisir pour ma règle et tranquillité si tu m'envoyais un mot de réception. Excuse-moi le bout de papier sur lequel je te trace ces lignes hâtives, et crois à ma constante affection. Bien à toi. J. Trèves, r. XXXIII Promiod, ce 1 1 Août 1 9 1 8. Cher Félicien, J'ai été bien heureux de recevoir ta réponse, ainsi que la Copie de la partie du Regeste qui concerne Emarèse. Je t'en remercie bien · ainsi que de la promesse que tu me fais de m'en donner vision entière à ton retour. Il nous prouverait donc que les Robin étaient réelle ment une ancienne Famille de Montjovet. J'en suis heureux. Cette belle figure du Curé Jacques Robin m'attire. Ici enco re c'est un enfant du peuple qui est fondateur d'une Oeuvre
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